De la grande Dame en mouvement
On ne voit jamais que le dos,
Mais de sa cape qui descend
Vont naître tous les berceaux.
Un jour, cette compagne du vent
M’attira dans son parallèle :
« Arrache tes attaches, dit-elle,
Et pars quand il est encore temps ! »
Ce que je laisse sur ma route
En nuits et en cris me coûte,
Mais dans mes pieds je sens frémir
La danse qui suit les finirs.