A l’étincelle, je vis celle
Dont la lanterne, sur le seuil,
Jamais n’éteindra l’accueil
De ceux qui demandent après elle.
Au portique de sa demeure
Hésite encore l’être pensant
Un pied freinant l’autre devant,
Fait les cent pas, attend son heure.
Elle me dit : « devance ta chance,
A ma spirale, viens t’ajouter !
Rien ne bouge dans l’unité,
Au sursaut de la délivrance. »
